L’argousier, produit du terroir des Alpes de Haute Provence NATVIT
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Culture : En culture, cet arbuste particulièrement robuste et rustique ne demande pas d’insecticides ni d’engrais. L’avantage de la culture est bien évidemment de contrôler le développement, mais aussi de faire de la recherche sur ces baies, au niveau de la multiplication et des alliances de variétés. Je suis producteur et transformateur sous la marque NATVIT, à Claret dans les Alpes de Haute Provence. Un travail de longue haleine puisqu’un plant met plusieurs années pour arriver à maturité et la récolte ne peut se faire que tous les 2 ou 3 ans. De la récolte à la transformation : A cause des épines, de la fragilité de baies fortement accrochées, la méthode dite « de secouage », utilisée notamment pour la récolte des noix et inefficace, donc on ne les cueille pas directement mais on taille des rameaux de 20 centimètres. Ceux-ci sont ensuite immédiatement surgelés pendant 8 heures avant la dissociation des baies, toujours à basse température, ce qui permet de ne pas altérer leur qualité et sont ensuite conservées au congélateur à -20%C avant transformation. L’huile est conditionnée pure ou intégrée à des produits cosmétiques, et le jus aussi peut être réduit en poudre par un procédé d’atomisation ou lyophilisation, afin de l’assimiler dans des comprimés et des bonbons.
Propriétés et valorisation : Utilisé ancestralement par les chinois en produits alimentaires et médicinaux, l’argousier présente de nombreuses propriétés outre la teneur en vitamine C, notamment anti-oxydantes, dermatologiques et cutanées. Ma production est donc axées sur ces bienfaits et présente de nombreuses possibilités de présentations : le jus, soit pur soit en association avec un autre fruit pour atténuer son acidité pour le tonus, l’huile en application cutanée, les comprimés en complément d’alimentation, en savon, en bonbons pour la découverte du goût, ou encore intégré dans les produits cosmétiques.
L’ETOILE DU BERGER
La rouine
04420 draix
06 62 87 48 93
Partez à la découverte des saveurs des poires confites de Claude Pélestor.
La poire de Sarteau est un produit du terroir de Provence.
Les poires blanches et fermes confites de Sarteau représentent un pan de la tradition gastronomique et gustative des Alpes de Hautes Provence, de ce terroir sur les communes de La Javie, Beaujeu, Prads et Draix/Archail.
C’est désormais un produit qui se décline depuis des poires confites, vers la fabrication de jus de poires, le tout dans une certification biologique.
Biscuiterie Alpine
Fabrication artisanale depuis 1958
6 rue des gentianes
ZA les eyssagnières
0500GAP
04 92 53 86 91
biscuiteriealpine.com
La tarte de montagne était à l’origine réalisée à l’arrivée des hivers rigoureux avec les confitures de fruits faites de la cueillette de myrtilles et framboises qui foisonnent dès l’été dans nos vallées
Cette recette ancestrale des Hautes Alpes est née à la croisée des vallées du Queyras, du Champsaur et du Valgaudemar. Elle est fabriquée artisanalement dans notre atelier depuis 1958. En presque un demi-siècle nous n’avons fait que diversifier les parfums de cet emblème de la gastronomie des Hautes Alpes.
Elles se dégustent accompagnées d’un vin doux naturel ou simplement, en famille, au petit déjeuner ou au goûter.
Depuis plus de 30 ans notre petite brigade est dirigée par le même chef pâtissier. Pino transmet patiemment ses secrets pour que les produits nés dans nos chaudrons et nos fours soient des mets de qualité chargés d’histoires.
Ainsi où que vous soyez, mordez dans nos tartes en fermant les yeux…Bienvenue dans les Hautes Alpes.
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LES JARDINS DES HAUTES TERRES
ANNE ROBICHON
05260 Saint Michel de Chaillol
04 92 50 06 66
anne.robichon0983@orange.fr
WWW.jardinshautesterres.com
Fabrications gourmandes: confitures, gelées, produits à base de roses,…
Au fil des saisons, je vous propose de nouvelles créations, délices d’arômes et de saveurs.
Mes produits ne contiennent aucun adjuvant artificiel.
Des roses anciennes au chardon bleu, à la visite d’un jardin montagnard,…
Vous y découvrirez la flore alpine, une roseraie de 400 rosiers anciens à parfum (environ 120 variétés), les plantes aromatiques ou potagères adaptées à l’altitude.
Cultivées ou sauvageonnes, plantes aux multiples usages, elles se mêlent dans une palette changeante de parfums et de couleurs, et font partie de notre vie quotidienne. Nos jardins accueillent aujourd’hui environ un millier d’espèces et de variétés de plantes différentes.
Anne vous guidera dans les jardins en vous faisant partager ses connaissances.
Depuis maintenant plus de 30 ans, nous cultivons un génépi de qualité à plus de 2000 m d’altitude, selon des méthodes respectueuses de l’environnement.
Après de longues recherches et essais infructueux à basse altitude, j’ai retenu pour la culture du génépi un terrain situé sur la commune de Vars (Hautes-Alpes), près du col de la Coulette. Idéalement orienté (c’est à dire au Sud) et à 2100 mètres d’altitude, cette terre d’alpage m’a paru parfaitement adaptée à ce que je recherchais… et aujourd’hui, je ne crois pas m’être trompé !
Les génépis sont des espèces naines qui font partie du genre Artemisia (armoises) et de la famille des Astéracées (anciennement Composées). Elles poussent uniquement en montagne, entre 2000m et 3000m d’altitude.
Génépi gris
Artemisia umbelliformis (= Artemisia mutellina)
Appelé par certains génépi jaune, les Suisses l’appellent génépi blanc… Il y a de quoi s’y perdre ! Cette espèce a toujours été la plus utilisée car elle a de très bonnes qualités aromatiques et n’est pas trop rare. Sa cueillette est règlementée (limitée à 100 brins dans les Hautes-Alpes).
Le Génépi gris est de loin l’espèce la plus cultivée, c’est la seule que nous commercialisons.
A partir d’une sélection rigoureuse de fruits et de plantes, nous élaborons des spiritueux et des produits gourmands grâce à notre savoir-faire.
HISTOIRE DE BISCUITS
05230 CHORGES
Histoire de biscuits
C’est une recette de rencontres à haute valeur ajoutée !
Tout a commencé par une envie de réaliser des biscuits tendres (comprendre : ni durs, ni secs) et originaux, tout en valorisant notre terroir et patrimoine de montagne. Des motifs du Queyras ont été gravés sur nos premiers tampons à cookies. Puis des producteurs locaux ont été sélectionnés pour la qualité de leur travail. Et enfin des femmes de tous horizons – pas biscuitières du tout – se sont essayés à réaliser nos biscuits … avec succès !
L’histoire nous a rattrapé, les quatre coeurs du tampon ont pris vie et sont devenus la biscuiterie « Histoire de biscuits ».
Le premier coeur est pour les femmes que nous accompagnons avec l’association « Toutes pour une » qui porte la biscuiterie. Victimes de préjugés car sans expérience professionnelle ou avoir fait d’étude, avec des bleus au corps ou à l’âme, ou bien venue d’ailleurs, déracinées, elles ne trouvent que des emplois dont personne d’autre ne veut et qui ne les valorisent pas vraiment pour rebondir dans la vie. En fabriquant des biscuits bon et beaux, d’autres perspectives s’offrent à elles !
Le second coeur est pour le terroir haut alpin qui prend soin de la terre et du vivant en choisissant l’agriculture biologique. Les farines d’une exploitation locale voisine (Vincent Ollivier), les oeufs de petits paysans (Ferme de la petite grange), les plantes (reine des prés,
agastache…) et le miel d’ici.
Le troisième coeur correspond à toutes les personnes autour de la biscuiterie : la collégiale de l’association Toutes pour une, les copines qui viennent donner un coup de main bénévole, les collègues avec qui on se regroupe pour faire les achats, les revendeurs qui mettent en avant nos biscuits, les partenaires financeurs, celles qui parlent de nous…
Le quatrième coeur, c’est vous. S’il n’ y avait personne pour acheter et manger nos biscuits, toute cette belle chaine de vie n’existerait pas.
La biscuiterie a démarré en 2021 tout doucement pour voir… Elle s’est développée en 2022 avec l’installation à Chorges dans un atelier labo aux normes fait en grande partie nous- mêmes (un beau chantier de filles !).
Une petite équipe de deux salariées et de stagiaires qui viennent découvrir le métier, (accessoirement le bio et le zéro déchet) avant de repartir vers un autre emploi ou une formation.
Les horaires de travail sont adaptés aux transports publics. Tout est façonné à la main.
Exceptés quelques épices et décorations, les ingrédients sont issus de l’agriculture biologique.
Nous souhaitons faire de la petite biscuiterie d’aujourd’hui, un vrai Atelier Chantier d’Insertion pour réinsérer plus de femmes éloignées de l’emploi en milieu rural.